PORTRAITS DES COWORKERS : Alban

PORTRAITS DES COWORKERS : Alban

Alban à débarqué dans le sud et sur nos rivages en septembre dernier ! Résident depuis le premier jour, il a accepté d’échanger quelques minutes avec nous  pour vous parler de son parcours, ses projets et son expérience à L’Archipel !

Hello Alban, peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Alban, j’ai 25 ans et je suis développeur d’application mobile sur Flutter. J’ai fait une formation d’ingénieur et je suis également passé par la marine pendant un an et demi, une sorte de service militaire. Sinon, j’ai commencé à coder au collège il y a 10 ans et depuis 2 ans je suis à mon compte.

C’était naturel pour toi de te mettre à ton compte  ?

Oui et non, normalement on passe par la case entreprise au commencement de sa vie professionnelle, mais j’avais déjà fait un peu d’alternance durant mes études donc j’ai voulu relever le défi ! Et s’en était un,  tu dois apprendre à gérer un client, tu passes tout de suite pour l’expert alors qu’au début je n’avais pas autant d’expérience mais finalement je m’y suis fait et aujourd’hui ça marche bien donc c’est chouette.

Quel a été ton premier projet et quel est ton préféré ?

Alors mon premier client, c’était pour le gérant d’un bar à échecs et l’idée c’était de faire une application pour que les joueurs se rencontrent, puissent s’affronter en fonction de leurs niveaux et organiser des tournois. Le gérant était content et moi aussi ! (rires)

Et pour ce qui est de mon projet préféré, je n’étais pas encore à mon compte à ce moment là mais quand j’étais dans l’armée, je travaillais  sur une application dédiée aux renseignements. Pour un premier projet en sortie d’études, j’avais eu beaucoup de chance.

En ce moment tu bosses sur quoi ?

Une application pour des éleveurs laitiers qui ont besoin de suivre leurs troupeaux, vérifier la qualité du lait, gérer la santé de leur bêtes,…. C’est vraiment l’avantage d’être à son compte , c’est de pouvoir bosser sur des sujets  très variés. Jusqu’à aujourd’hui j’ai eu de la chance avec les projets sur lesquels j’ai travaillé parce qu’à chaque fois les domaines étaient assez concrets et avaient du sens, ça me plait. Des projets informatiques il y en a plein, la difficulté c’est de trouver le bon projet.

Et tu trouves comment tes clients ?

Principalement sur des plateformes de freelances et le bouche à oreille. Mais ce que j’aimerais idéalement c’est travailler sur mes propres idées et  développer mes propres applications, ce serait le top ! Mais je dois trouver des bonnes idées et c’est plus compliqué (rires) !

Quels sont selon toi les avantages et les inconvénients d’être à son compte ?

Les avantages, c’est que je peux choisir mes projets, pouvoir bosser d’où je veux, si je veux travailler à mi-temps et développer une entreprise à côté je peux le faire donc beaucoup plus de liberté. L’inconvénient c’est que je ne sais pas sur quoi je vais travailler dans 3 mois. J’ai des projets en attente de validation donc pour le moment je sais sur quoi je bosse jusqu’en janvier. Mais de manière générale les développeurs n’ont pas trop à craindre à ce niveau là. Par contre je ne veux pas que ça me mette dans une situation où  je serais obligé  d’accepter un projet juste pour des raisons financières sans que ça me donne envie et que ça m’intéresse.

Comment s’est passé ton arrivée à L’Archipel ?

Je connaissais déjà le principe du coworking, j’avais fréquenté l’espace Digital village à Paris. Et puis l’appel du sud, du soleil et quelques connaissances m’ont amené à m’installer à Toulon en septembre.  J’étais très content d’arriver à L’Archipel parce que je déteste bosser à la maison, dans un espace de cowork on y retrouve une ambiance de travail et ça me permet surtout de ne pas être tout seul.

Et pouvoir prendre une petite pause au bord de l’eau c’est vraiment sympa alors qu’à Paris c’est la pause au bord de l’immeuble ! (rires)

J’aime bien aussi quand des gens viennent régulièrement, parce que je mets toujours un peu de temps avant de connaitre les coworkeurs, je ne suis pas un commercial et je suis un peu dans ma bulle (rires)

Merci Alban !